L’enquête SLAVACO Vague 3 – SESSTIM s’est déroulée entre le 2 et le 17 décembre 2021, auprès d’un échantillon de 2022 personnes, représentatif de la population adulte résidant en France métropolitaine selon l’âge, le sexe, la catégorie socioprofessionnelle, la taille de l’agglomération et la région de résidence (méthode des quotas).
Le vieillissement de la population, la forte augmentation des maladies chroniques, mais aussi les progrès technologiques et thérapeutiques ou l’entrée du numérique dans la santé ont considérablement changé les besoins et les approches en matière de soins. Le système de santé est en pleine mutation avec l’objectif de garantir à tous les habitants d’un territoire une meilleure prévention et un accès à des soins de qualité, impliquant la coopération de l’ensemble des professionnels de santé de ce territoire.
L’ORS, chargé de la coordination scientifique du bilan de santé dans les écoles maternelles de la région (Eval Mater) depuis 2000, poursuit l’animation autour de ce projet.
La valorisation du projet, actuellement faite par le biais d’une page dédiée au projet sur le site internet de l’ORS, reste peu visible. Du fait de la montée en charge des formations autour du projet, de demandes émanant d’autres régions et d’un développement des outils pédagogiques associés, il apparaît pertinent de disposer d’un site internet spécifique dédié au projet.
Face à un manque de données sur l’état de santé des jeunes enfants, l’Agence régionale de santé (ARS) souhaite disposer de données sanitaires actualisées sur ce groupe pour aider à la mise en place des actions à déployer sur 2023-2028 en lien avec le Projet régional de santé (PRS 3), la dernière enquête réalisée à partir des bilans de santé en école maternelle datant de 2009-2010.
L’ORS, chargé de la coordination scientifique du bilan de santé dans les écoles maternelles de la région (Eval Mater) depuis 2000, poursuit l’animation autour de ce projet.
La valorisation du projet, actuellement faite par le biais d’une page dédiée au projet sur le site internet de l’ORS, reste peu visible. Du fait de la montée en charge des formations autour du projet, de demandes émanant d’autres régions et d’un développement des outils pédagogiques associés, il apparaît pertinent de disposer d’un site internet spécifique dédié au projet.
Depuis de nombreuses années, une démarche d’harmonisation du bilan de santé en école maternelle --effectué en école maternelle par les services de Protection maternelle et infantile-- a été mise en place dans le cadre du projet "Eval Mater" financé par l’Agence régionale de santé (ARS) Provence-Alpes-Côte d’Azur. A partir de ce bilan, il est possible de recueillir des données sur l’état de santé des enfants et de pouvoir les comparer. Depuis 2009, l'exploitation régionale des données issues de ce bilan de santé n’a pas été réalisée.
Dans le contexte d’une hésitation vaccinale touchant une proportion non négligeable de la population française et près de 40 % des parents d’enfants, le ministère chargé de la santé a décidé d’étendre les obligations vaccinales dans la petite enfance à 11 maladies infectieuses à prévention vaccinale. Cette mesure est entrée en vigueur à partir de janvier 2018 et vise ainsi les enfants nés à partir de cette date.
Élaboré en 2003 sous la coordination scientifique de l’ORS PACA, le bilan de santé « Eval Mater » est le fruit d’une collaboration entre les médecins responsables des services de Protection Maternelle et Infantile (PMI) des six départements de la région PACA et l’équipe de neurologie pédiatrique de l’hôpital de la Timone à Marseille. Cette démarche a été financée par l’Agence Régionale de Santé PACA. Ce bilan est depuis 2003 utilisé en routine par l’ensemble des équipes de PMI des six départements de la région PACA.
L’enquête : Entre le 25 avril et le 9 mai 2022, un échantillon de 2053 personnes, représentatif de la population adulte résidant en France métropolitaine (méthode des quotas appliquée à l’âge, au sexe, à la catégorie socioprofessionnelle, à la taille de l’agglomération et à la région de résidence) et un échantillon de 1004 personnes ayant au moins un enfant à charge âgé de 2 à 11 ans, ont été interrogés par internet sur une diversité d’aspects de la vaccination contre la COVID-19.