Etude des comportements vaccinaux au Sénégal : le cas des infections à papilloma virus humain
Les infections à papillomavirus humain (PVH) causent diverses maladies, dont le cancer du col utérin, première cause de mortalité par cancer en Afrique Sub-Saharienne, y compris au Sénégal, où est menée une campagne nationale de vaccination contre les PVH ciblant les filles de 9 ans.
COVID-19, Conditions de vie et Comportements : Enquête Longitudinale dans le SEnégal Rural (suite)
Le poids de la COVID-19 sur les systèmes de santé des pays d’Afrique Sub-Saharienne est resté relativement limité, notamment dans les pays à l’ouest du continent. Les campagnes vaccinales initiées en 2021 dans un cadre international d’urgence sanitaire se sont finalement inscrites dans ce contexte épidémiologique particulier où l’hésitation vaccinale s’est largement manifestée. Afin de suivre la dynamique des réactions du public à la pandémie de COVID 19, à mesure que celle-ci s’est transformée, le projet CO3ELSER (ANRS, 2020-2024) a reposé sur un dispositif longitudinal.
Etude interventionnelle de l'efficacité du Ténofovir disoproxil chez les femmes enceintes infectées par le virus de l’hépatite B avec charge virale élevée, associé au vaccin à la naissance, sur la transmission Mère-Enfant du VHB à Tokombéré, Cameroun
L’Afrique, zone de haute endémie du virus de l’hépatite B (VHB), connaît une mortalité précoce par cirrhose ou cancer du foie. Sans intervention, le risque de transmission du VHB de la mère AgHBs+ à l'enfant (TME) est de l’ordre de 38 % si la mère est AgHBe+ et de l’ordre de 5 % si elle est AgHBe- selon une méta-analyse récente. Au Cameroun, la prévalence de l'AgHBs est entre 5,4 % et 25,3 %. Pour prévenir la TME du VHB, le programme élargi de vaccination prévoit une valence hépatite B (PEV-HB) comprenant 3 injections aux 6, 10 et 14èmes semaines.
Sur la route des Badjenou Gox - Des marraines de santé au Sénégal
Sur la route des Badjenou Gox propose une visite photographique de la zone d’étude de Niakhar (Sénégal) au travers des activités de médiation sociale de femmes bénévoles ("les Bajenou Gox", des « marraines de santé ») qui établissent et entretiennent le lien entre la population et le système sanitaire du pays. Sur une centaine de pages, ces photos visent à faire comprendre le travail fondamental qu’elles effectuent chaque jour pour favoriser des actions de prévention auprès des habitants de leur quartier, comme la vaccination.
Conditions de vie et comportements - Résultats d’une enquête longitudinale dans la zone de Niakhar, au Sénégal en 2020-2024
Une enquête longitudinale menée entre 2020 et 2024 au Sénégal auprès de 600 ménages a montré que les intentions de vaccination contre la COVID-19 ont suivi les mêmes tendances qu’ailleurs dans le monde, avec une augmentation importante de l’hésitation vaccinale lorsque la vaccination contre la COVID-19 est devenue possible et une ampleur croissante des refus de se faire vacciner. Par ailleurs plus de 7 personnes sur 10 ont exprimé une attitude très fortement positive à l’égard de la vaccination des enfants contre le paludisme.
COVID-19, Conditions de vie et Comportements : Enquête Longitudinale dans le SEnégal Rural (suite)
Le poids de la COVID-19 sur les systèmes de santé des pays d’Afrique Sub-Saharienne est resté relativement limité (contrairement à ce qui était anticipé), notamment dans les pays à l’ouest du continent. Les campagnes vaccinales initiées dans un cadre international d’urgence sanitaire se sont finalement inscrites dans ce contexte épidémiologique particulier où l’hésitation vaccinale s’est largement manifestée.
COVID-19, Conditions de vie et Comportements : Enquête Longitudinale dans le SEnégal Rural
Dans le contexte inédit de pandémie mondiale de la COVID-19, la diffusion de la COVID-19 en Afrique Sub-Saharienne reste relativement limitée, notamment dans les pays à l’ouest du continent, mais les incertitudes demeurent quant à l’évolution de la pandémie. Dans des contextes nationaux où les pouvoirs publics ne sont pas systématiquement en position d’atténuer substantiellement le choc économique induit par la pandémie, les zones rurales pourraient jouer un rôle majeur d’accueil, comme en ont témoigné les mouvements de populations issues des grandes villes en 2020.
Etude des comportements vaccinaux au Sénégal : le cas des infections à papilloma virus humain
Les infections à papillomavirus humain (PVH) causent diverses maladies, dont le cancer du col utérin, première cause de mortalité par cancer en Afrique Sub-Saharienne, y compris au Sénégal, où est menée une campagne nationale de vaccination contre les PVH ciblant les filles de 9 ans. Cette campagne est conduite dans un contexte global d’"hésitation vaccinale" (HV), qui souligne notamment la crise de confiance des populations à l’égard de la sécurité et de l’efficacité des vaccins, et l’apparition d’attitudes spécifiques à tel ou tel vaccin.
Etude interventionnelle de l'efficacité du Ténofovir disoproxil chez les femmes enceintes infectées par le virus de l’hépatite B avec charge virale élevée, associé au vaccin à la naissance, sur la transmission Mère-Enfant du VHB à Tokombéré, Cameroun
L’Afrique, zone de haute endémie du virus de l’hépatite B (VHB), connaît une mortalité précoce par cirrhose ou cancer du foie. Sans intervention, le risque de transmission du VHB de la mère AgHBs+ à l'enfant (TME) est de l’ordre de 38 % si la mère est AgHBe+ et de l’ordre de 5 % si elle est AgHBe- selon une méta-analyse récente. Au Cameroun, la prévalence de l'AgHBs est entre 5,4 % et 25,3 %. Pour prévenir la TME du VHB, le programme élargi de vaccination prévoit une valence hépatite B (PEV-HB) comprenant 3 injections aux 6, 10 et 14èmes semaines.
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