QUALITÉ DE L’EAU DU ROBINET : Dans l’édition du Baromètre 2017, on pouvait noter que les habitants de la région étaient moins préoccupés par les risques pour la santé liés à la qualité de l’eau que par ceux liés aux pesticides ou à la qualité de l’air. |
||
85 % DES HABITANTS DE LA RÉGION SE DISENT SATISFAITS DE LA QUALITÉ DE L’EAU DU ROBINET DANS LEUR COMMUNE |
||
Cependant, 1 habitant sur 5 boit exclusivement de l’eau en bouteille. Ces habitants trouvent l’eau du robinet trop calcaire et/ou de mauvais goût. Ils craignent également d’y retrouver certains éléments toxiques (plomb, pesticides, chlore, résidus de médicaments ou encore nitrates). |
||
1 HABITANT SUR 2 EST SATISFAIT DE L’INFORMATION REÇUE SUR LA QUALITÉ DE L’EAU DANS SA COMMUNE |
||
Au-delà de l’enjeu d’information, certains habitants ont des doutes sur les risques que l’eau du robinet présente pour certaines populations vulnérables. En effet, seuls 30 % de la population régionale pensent qu’un nourrisson peut être alimenté avec de l’eau du robinet sans risque pour sa santé et 61 % pensent que les femmes enceintes peuvent en consommer sans risque pour leur santé. |
||
ENJEUX D’INFORMATION L'édition du Baromètre parue en 2017 indiquait déjà que la confiance des habitants envers les différentes sources d'information était variable. Les canaux d'information utilisés étaient variés et leur choix dépendait de l'âge des habitants. |
||
1 HABITANT SUR 2 N’EST PAS SATISFAIT DE L’INFORMATION QU’IL REÇOIT SUR LES RISQUES POUR LA SANTÉ LIÉS À SON ENVIRONNEMENT |
||
Les journalistes sont la principale source d’information pour la population régionale, devant les scientifiques et les médecins. Par ailleurs, on note que les jeunes se sentent mieux informés sur les risques pour la santé liés à l’utilisation des portables et à la pollution de l’air extérieur que sur ceux liés aux perturbateurs endocriniens et aux peintures au plomb. |
||
MAIS DES HABITANTS QUI ONT CONFIANCE EN LEURS ÉLUS LOCAUX ET RÉGIONAUX POUR AGIR |
||
Les habitants ont confiance en leurs élus et sont également désireux d’être acteurs de l’amélioration de la qualité de leur environnement et de leur santé. Ils sont 64 % à déclarer s’impliquer, ou être prêts à le faire, dans des projets associatifs ou communaux. |